10/08/2025 | Press release | Distributed by Public on 10/08/2025 02:53
Cette nuit, à 4 heures du matin, Israël a intercepté une deuxième flottille d'aide humanitaire à destination de Gaza, dans les eaux internationales. À bord du plus grand navire de la flottille, le Conscience, se trouvaient quatre Belges, dont la docteure Hanne Bosselaers de Médecine pour le Peuple. Nous appelons le gouvernement belge à exercer une pression maximale sur Israël afin d'obtenir la libération de toutes les personnes à bord et de mettre fin au blocus humanitaire de Gaza.
Mercredi 8 octobre 2025
Une publication partagée par Partij Van De Arbeid (België) (@pvdabelgie)
« Le blocus de Gaza est illégal, et l'interception d'une aide humanitaire dans les eaux internationales l'est tout autant, déclare notre secrétaire général Peter Mertens. Nous demandons au gouvernement de réagir enfin fermement contre Israël par un boycott économique et un embargo militaire. »
Après l'interception de la Global Sumud Flotilla la semaine dernière, l'armée israélienne a de nouveau intercepté, la nuit dernière, une deuxième flottille humanitaire à destination de Gaza. Cela s'est produit dans les eaux internationales, en violation manifeste du droit international. À bord du plus grand navire de la flottille, le Conscience, se trouvaient 92 passagers, principalement des soignants et des journalistes. Parmi eux, quatre Belges, dont Hanne Bosselaers, médecin généraliste à Médecine pour le Peuple, qui a travaillé pendant cinq mois en 2013 dans un hôpital de Gaza.
Nous demandons au gouvernement de réagir enfin fermement contre Israël par un boycott économique et un embargo militaire.
Peter Mertens
Secrétaire général
Nous demandons au gouvernement belge de mettre une pression maximale sur Israël pour obtenir la libération des participants de la flottille humanitaire et la levée du blocus autour de Gaza.
« C'est est incompréhensible qu'après deux ans de génocide, Israël puisse intercepter impunément des navires d'aide humanitaire transportant des Belges, dans les eaux internationales, sans la moindre réaction significative de notre gouvernement, réagit Peter Mertens. Le moment est venu d'agir enfin avec fermeté, par un boycott économique et un embargo militaire, pour faire pression sur Israël afin qu'il mette fin au génocide. »